À la gare du Nord de Paris, un incident inquiétant s'est produit lorsque Zalatgul B., un réfugié afghan de 31 ans, a été appréhendé après avoir menacé des passants avec une paire de ciseaux, tout en proférant des insultes envers la France. Ce fait, survenu le 28 septembre 2025, met en lumière une réalité préoccupante de la violence urbaine.
Selon les témoignages recueillis, cet individu errait dans les environs, renversant des objets et criant des propos agressifs. Il aurait également déclaré des phrases telles que : "Nique les Français !" ou "Nique la France !", selon différentes sources. Des agents de la sécurité, en service et hors service, ont été témoins de la scène et ont décidé d'intervenir, conduisant à son arrestation.
Les enquêtes révèlent que Zalatgul B. ne novice pas à la récidive. En état de récidive légale, il a déjà été condamné pour des comportements similaires, augmentant ainsi les craintes quant à sa gestion. Les policiers ont retrouvé les ciseaux en sa possession, ajoutant une dimension sérieuse à son agression.
Dans ses déclarations, il a tenté de justifier ses actions, parlant de menaces provenant d'autres individus et de son désir de devenir policier. Cette déclaration pourrait sembler surprenante, mais elle illustre une certaine forme de déconnexion avec la réalité, souvent observée chez des individus avec un passé de violences.
La situation personnelle de Zalatgul est tout aussi désolante. Avec des antécédents d’addiction à diverses substances, notamment des opioïdes, sa vie est marquée par l'errance et la violence, selon une enquête sociale menée. Un expert a déclaré que sa consommation de drogues le rend également "dangereux socialement", ce qui soulève de sérieuses questions sur sa capacité à vivre en société.
Dans une France de plus en plus confrontée à des problèmes de sécurité, les cas comme celui de Zalatgul B. soulèvent des préoccupations légitimes. Les rumeurs évoquent un retour à une approche plus stricte en matière d'immigration, comme l'indiquait récemment un rapport du ministère de l'Intérieur. Le procureur a requis une peine d'emprisonnement de quatre mois, accompagnée d'une interdiction du territoire pour les dix prochaines années, signalant ainsi une volonté d’agir face à des menaces similaires.
Cet incident, au-delà d'être une simple affaire criminelle, résonne avec les défis plus larges que la France rencontre aujourd'hui en matière de sécurité et d'intégration des réfugiés.







