Antoine Pichon, maire de Quistinic, a récemment partagé un état des lieux de son mandat de six ans, révélant à la fois les succès et les défis auxquels son équipe a fait face. « Tout n'a pas été parfait », a-t-il admis, en mentionnant les démissions de certains élus et les tensions internes, notamment le retrait de son adjoint aux finances en 2023. Cependant, Pichon n'a pas manqué de saluer le travail de Sébastien Le Nezet, adjoint aux travaux, qui a laissé une empreinte durable sur la commune, notamment par la supervision de la construction d'une nouvelle infrastructure essentielle.
Les ambitions d'Antoine Pichon vont au-delà du simple constat. À l'approche des élections municipales de 2026, il souhaite renforcer l'engagement des citoyens au sein de la gouvernance locale. Selon des experts en politique locale, un renouvellement de l'intérêt pour les élections est crucial, particulièrement dans les petites communes comme Quistinic, où chaque voix compte.
Pichon a également évoqué la nécessité d'impliquer davantage les jeunes dans les affaires communales, plaidant pour des initiatives visant à les inciter à prendre part aux processus politiques. « La démocratie locale doit être dynamique et inclusive », a-t-il déclaré lors d'une réunion avec des élus et des membres de la communauté. Pour établir un dialogue constructif, le maire prévoit d'organiser des forums communautaires où les citoyens pourront exprimer leurs préoccupations et suggestions.
Des observateurs de la scène politique, comme le site Ouest-France, soutiennent que la transparence et l'inclusivité sont des facteurs cruciaux pour les élus à l'approche des élections. En mettant l'accent sur l'engagement citoyen, Pichon cherche à montrer que chaque contribution peut faire une différence, tant au niveau local que national.
Alors que l'échéance de 2026 se rapproche, Quistinic pourrait devenir un exemple de gouvernance participative, où les défis de la modernité sont abordés non seulement par les élus, mais également par la communauté entière.







