Gérard Evette, élu maire de Bérus en 2014 après la démission de son prédécesseur, ambitionne de poursuivre son engagement à la tête de cette petite commune de la Sarthe pour un troisième mandat lors des élections de 2026. À 66 ans, cet ancien conseiller municipal et adjoint, réélu en 2020, estime qu'il reste encore de nombreux projets à concrétiser pour améliorer la qualité de vie de ses concitoyens.
Avec le soutien de cinq candidats sortants et deux anciens élus, il se prépare à composer une équipe dynamique pour avancer sur des dossiers cruciaux, tels que la réhabilitation de l’église, l’aménagement de nouveaux terrains et la sécurité des espaces communaux. L’association des maires de France a récemment mis en lumière la hausse des violences envers les élus, un contexte qui impose de renforcer la sécurité au sein des communes, un point sur lequel Evette est particulièrement vigilent.
Dans ses propos, le maire transmet un sentiment d'inachevé : « Il reste beaucoup de projets à finaliser, afin de rendre la qualité de vie des Bérusiens toujours plus agréable. » Des initiatives sont déjà en cours, comme l'enfouissement des réseaux dans certaines zones de la commune et la mise en place de vidéosurveillance aux abords des bâtiments publics.
En outre, des experts en urbanisme saluent l'initiative de production d'énergie renouvelable qui pourrait voir le jour dans les mois à venir, renforçant ainsi l'engagement de Bérus vers une transition énergétique durable. « Les projets d'aménagement et de sécurisation sont essentiels pour le bien-être des habitants et le rayonnement de notre commune », souligne un spécialiste local.
À l'heure où le climat politique est souvent en tension, le parcours d'Evette démontre une volonté de rassemblement autour de projets concrets qui répondent aux enjeux actuels des collectivités. La signature des premiers contrats et le lancement de nouveaux projets se feront dès ce printemps, offrant un élan d'espoir pour l'avenir de Bérus.







