Le campus de l'université Brown à Providence, Rhode Island, a été le théâtre d'une fusillade tragique le 13 décembre. Plusieurs personnes ont été blessées alors que l'établissement accueillait des examens cruciaux pour ses étudiants. Les autorités locales n'ont pas fourni d'informations détaillées sur les victimes ni sur les circonstances précises de l'incident.
Dans un message urgent, la police a recommandé aux étudiants de s'abriter sur place et d'éviter la zone jusqu'à nouvel ordre. Initialement, un suspect avait été arrêté, mais cette information a rapidement été rectifiée, et les enquêteurs continuent de rechercher un ou plusieurs tireurs.
À 17h52, l'université a alerté ses étudiants que la situation était en cours et leur a demandé de rester prudents. Le président américain a exprimé sa préoccupation via sa plateforme Truth Social, indiquant que le FBI était sur place pour apporter son soutien.
Ce tragique événement a eu lieu près d'un bâtiment central dédié à l'ingénierie et à la physique, où de nombreux étudiants étaient engagés dans des examens importants. Selon des rapports d'autres médias, tels que Le Monde, cet incident met en lumière la problématique persistante de la violence armée sur les campus universitaires américains.
Brown, qui compte plus de 10 000 étudiants, se classe parmi les universités les plus prestigieuses de la Côte Est. Cet événement a suscité des réactions d'inquiétude et de solidarité de la part de la communauté éducative et des experts en sécurité. L'incident soulève des questions sur la sécurité sur les campus, un sujet qui nécessite une attention urgente à l'échelle nationale.
Les témoignages d'étudiants et de membres du personnel décrivent une atmosphère de peur et de confusion, accentuée par le choc de l'incident. Alors que les enquêteurs continuent de faire la lumière sur cet événement tragique, la communauté universitaire fait face à des défis émotionnels et psychologiques considérables.







