L’affaire du cadavre retrouvé dans le canal de Carpentras, avenue Pierre-de-Coubertin, prend une tournure inattendue. Selon les dernières informations, les enquêteurs écartent désormais la thèse criminelle. L'homme âgé de 36 ans, dont le corps a été extrait par les sapeurs-pompiers le 24 novembre, était connu des services de police, une dynamique qui complique l’enquête (source : Le Dauphiné Libéré).
Les circonstances entourant sa mort suscitent néanmoins des interrogations dans la région du Comtat Venaissin. À Pernes-les-Fontaines, où il résidait, des rumeurs se propagent, alimentées par la part d'ombre qui entoure cet événement tragique. Des spécialistes en criminologie affirment que l'élimination de la piste criminelle pourrait être motivée par l'absence de signes de violence apparents, mais cela n'empêche pas la spéculation. Le criminologue Jean-Michel Dupont a déclaré : "La mort d'un homme si jeune dans un contexte aussi troublant mérite une investigation approfondie."
Les policiers du commissariat de Carpentras poursuivent leurs investigations, cherchant à éclaircir les derniers moments de la victime. Des experts en toxicologie analysent des échantillons prélevés sur le corps, tandis que des témoins potentiels sont interrogés pour mieux comprendre le contexte de cette mort tragique.
Ce drame met en lumière des questions plus larges sur la sécurité publique et le soutien aux personnes en difficulté dans ce secteur. Les autorités locales se penchent sur des solutions concrètes pour lutter contre la détresse sociale, alors que les proches de la victime expriment leur choc et leur peine.
Malgré ce développement, la tranquillité de la région a été perturbée, et les habitants attendent des réponses précises. Alors que les enquêteurs poursuivent leur travail, la vie à Carpentras continue, marquée par la tension d'un mystère qui semble encore loin d'être résolu.







