La situation autour de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) soulève une forte mobilisation des agriculteurs dans le Sud-Ouest de la France. Ce jeudi, des actions significatives sont attendues à Toulouse, avec des agriculteurs prêts à bloquer le périphérique à partir de 9h30. Ce mouvement fait suite à l'arrivée de nouvelles doses de vaccins destinées à lutter contre cette maladie, un enjeu sanitaire crucial puisque plus d'un million de bovins ont déjà été vaccinés, principalement dans des régions comme la Savoie où l'épidémie a été relativement maîtrisée.
La colère des agriculteurs s'accompagne de manifestations à Bruxelles, où ils espèrent rassembler jusqu'à 10 000 participants pour s'opposer à des accords jugés nuisibles, notamment l'accord Mercosur. Parallèlement, ils projettent de bloquer l'accès aux stations de ski dans les Hautes-Pyrénées, intensifiant ainsi les tensions sur le terrain.
La ministre de l'Agriculture, Annie Genevard, a souligné l'importance d'une vaccination rapide et massive, alignant 500 000 doses déjà disponibles et 400 000 supplémentaires en rupture de stock. Les agriculteurs, face à des barrages qui limitent les livraisons normales, expriment leur inquiétude devant une crise alimentaire potentielle alors que les fêtes approchent.
Sur le terrain, beaucoup de familles réorganisent leurs vies pour continuer à gérer leurs exploitations tout en répondant à l'appel de la mobilisation. Les nouvelles mesures de désinfection et de nettoyage après l'abattage de troupeaux ont également généré des indemnisations, totalisant 1,15 million d'euros pour 22 éleveurs, une mesure mise en place par l'État pour soutenir les victimes de cette épidémie.
Alors que des forums d'experts commencent à discuter des implications de la DNC sur l'économie agricole, la situation reste tendue. Les agriculteurs, unis dans leur lutte, se battent non seulement pour leurs bétails mais aussi pour l'avenir de l'agriculture française face à des conditions de marché de plus en plus précaires.
La colère des agriculteurs s'accompagne de manifestations à Bruxelles, où ils espèrent rassembler jusqu'à 10 000 participants pour s'opposer à des accords jugés nuisibles, notamment l'accord Mercosur. Parallèlement, ils projettent de bloquer l'accès aux stations de ski dans les Hautes-Pyrénées, intensifiant ainsi les tensions sur le terrain.
La ministre de l'Agriculture, Annie Genevard, a souligné l'importance d'une vaccination rapide et massive, alignant 500 000 doses déjà disponibles et 400 000 supplémentaires en rupture de stock. Les agriculteurs, face à des barrages qui limitent les livraisons normales, expriment leur inquiétude devant une crise alimentaire potentielle alors que les fêtes approchent.
Sur le terrain, beaucoup de familles réorganisent leurs vies pour continuer à gérer leurs exploitations tout en répondant à l'appel de la mobilisation. Les nouvelles mesures de désinfection et de nettoyage après l'abattage de troupeaux ont également généré des indemnisations, totalisant 1,15 million d'euros pour 22 éleveurs, une mesure mise en place par l'État pour soutenir les victimes de cette épidémie.
Alors que des forums d'experts commencent à discuter des implications de la DNC sur l'économie agricole, la situation reste tendue. Les agriculteurs, unis dans leur lutte, se battent non seulement pour leurs bétails mais aussi pour l'avenir de l'agriculture française face à des conditions de marché de plus en plus précaires.







