La disparition d'un psychologue de 50 ans, Salah Bouabdallah, a suscité une grande inquiétude parmi ses proches et la communauté. Depuis le 21 décembre, les membres de sa famille n'ont plus de nouvelles de lui, un fait d'autant plus préoccupant qu'il est décrit comme une personne engagée dans son travail à Nîmes. C'est par le biais des réseaux sociaux que l'appel à témoins a été diffusé, attirant l'attention sur cette situation inquiétante.
L'absence inattendue de Salah a été constatée par ses proches au cours du week-end des 21 et 22 décembre, ce qui a conduit sa famille à alerter les autorités compétentes. Selon Me Fahd Mihih, l'avocat représentant la famille, une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte le 23 décembre et la police judiciaire a été activement impliquée dans les investigations.
Aucune piste n'est écartée dans cette enquête
Les enquêtes préliminaires menées par les services de police judiciaire de l'Hérault n'ont pas encore permis de découvrir des indices clairs. Dans un contexte où la sécurité des personnes est primordiale, les autorités font appel à l'ensemble de la population pour partager toute information pouvant éclairer cette affaire. La famille de Salah est particulièrement reconnaissante envers ceux qui s'efforcent de rendre visible cette disparition.
Des experts en psychologie, interrogés par Le Monde, soulignent l'impact émotionnel que peut avoir une telle situation sur les proches, précisant qu'il est crucial d'agir rapidement. Les membres de la communauté locale sont encouragés à rester vigilants et à signaler tout comportement ou événement suspect qui pourrait être lié à la disparition de Salah.
Ce type de situation pose d'importants défis pour les enquêteurs, comme l'indiquent plusieurs sources judiciaires, qui affirment que chaque piste, même la plus minime, doit être explorée avec rigueur. Les familles, elles, doivent faire preuve de résilience dans l'attente de nouvelles, souvent trop longues.







